Bonjour à tous !
On voit fleurir dans la
blogosphère des compte-rendus de visites au Salon du livre de Paris.
Je prends plaisir à les lire, à découvrir les acquisitions des
lecteurs et à comparer leurs expériences avec la mienne. Cette
année, c'était la 4e fois que je me rendais à ce fameux salon. Je
me souviens de ma première visite, j'étais toute folle à l'idée
de rencontrer des écrivains, d'avoir des dédicaces, et de parcourir
les grandes allées du salon, entourée par des tonnes de livres ! A
peine la journée terminée, je m'étais dit "L'année prochaine,
j'y retourne !".
Cette année était un peu
différente car je n'avais pas prévu d'y aller. Je n'étais pas à
Paris le week-end du Salon. Puis, me rendant compte que le salon ne
se terminait que le lundi soir, je me suis dit que finalement, je
pourrais m'y rendre. Mais je n'étais pas dans les meilleures
dispositions pour cette visite : j'avais eu cours le matin, et
n'étant pas rentrée chez moi entre temps, je me promenais avec mon
ordinateur portable, autant dire que mon épaule a bien souffert. Et
comme c'était une visite imprévue, je n'avais pas pris le temps de
m'intéresser aux animations qu'il y aurait, aux auteurs présents,
aux différents stands etc,. J'y suis allée en touriste, si je puis
dire, et sans envie particulière.
Je n'ai pas retrouvé
l'effervescence que j'avais tant aimée lors de mes précédentes
visites, sûrement parce que c'était le dernier jour et que la
plupart des animations et dédicaces sont font le samedi et le
dimanche. Certes, il y avait moins de monde, ce qui était le point
positif, au moins j'ai pu respirer et me promener assez
tranquillement. Mais j'avais tant aimé les années précédentes,
voir des écrivains au détour d'un stand, en pleine séance de
dédicaces, et voir la foule de lecteurs prêts à faire la queue
pour lui parler, j'avais aimé voir des journalistes parcourir les
allées du salon, caméra sur l'épaule et micro à la main, j'avais
aimé cette impression d'être dans un tourbillon d'événements et
d'animations. Il n'y avait pas ce tourbillon, lundi après-midi. Le
point positif, c'est que comme je n'ai pas réussi à “rentrer dans
l'ambiance SdL”, je n'ai pas beaucoup dépensé. Je pense que si
j'y étais allée samedi ou dimanche, j'aurais craqué plus
facilement. Là, je n'ai acheté qu'un magazine. Je suis quand même
allée sur le stand des éditions Charleston, dont je suis
l'actualité sur un réseau social. (j'ai eu du mal à trouver le
stand d'ailleurs !). J'ai eu droit à tote bag très sympa ! Et à
part ça, rien d'extraordinaire. J'ai feuilleté des livres, me suis
promenée, pour au final ne rester que deux heures environ. Je pense
aussi que le manque de temps que j'ai en ce moment pour lire m'a
empêchée de profiter pleinement de ce salon. Je regardais les
livres, me disais “tiens, il a l'air bien !” mais le reposais car
je savais très bien que je n'aurais pas le temps de le lire. Je
préférais donc éviter de faire des dépenses.
J'avais ainsi plus l'impression
d'être dans une librairie géante que dans un véritable salon du
livre. Je suis un peu déçue, mais je suis bien consciente que c'est
aussi dû au fait que je n'étais pas à 100% dans ma visite. Je peux
quand même dire que j'essaierai d'y aller l'année prochaine, et le
samedi ou le dimanche de préférence !
Oui, encore un magazine sur Marcel... Que voulez-vous, je suis faible ! |
J'y suis allée aussi sur deux jours : vendredi et samedi. C'était la première fois que je m'y rendais et j'avoue que le côté "librairie géante" je l'ai aussi un peu ressenti mais sinon malgré quelques "problèmes", j'ai bien aimé l'ambiance et j'essaierai d'y retourner l'année prochaine (avec une meilleure organisation !)
RépondreSupprimerPS : J'adore ta version ! Je suis fan !
Le choix de ton magazine ne m'étonne même pas hi hi :-D
RépondreSupprimerJ'ai plein de choses à te dire :
J'y suis allée samedi mais le plein de monde, c'est vraiment agaçant ! J'ai eu et vu beaucoup de gens déçus par le vendredi et le lundi car il y avait peu d'auteurs en dédicace, ce qui est dommage !
Je comprends que tu étais mal disposée. Je souffre terriblement lorsque je fais des expositions avec mon sac lourd à cause de mon PC.
Le samedi en fin de journée je suis allée au stand des éditions Charleston et elle m'a visiblement menti en me disant qu'ils n'avaient plus de cadeaux ^^J'aurai dû y aller plus tôt.
Enfin, c'était la deuxième fois que j'y allais mais je ne serai pas partisane pour y aller tous les ans, ça peut lasser à force. Je m'offrirai bien un an de répit. Enfin je dis ça, je verrai bien.
Si tu y avais été le samedi ou moi le lundi ça aurait été un plaisir de te rencontrer (beaucoup de bloggeuses en profitent au SDL) car j'apprécie beaucoup ton blog ! :-)
@Mlleaurel -> J'ai lu ici et là que le SDL avait modifié des conditions, notamment le prix pour avoir un stand, ce qui a empêché des maisons d'édition de venir et a contraint d'autres à réduire la taille de leur stand. C'est dommage, car c'est vrai que malgré tout, j'ai bien aimé être entourée de livres.
RépondreSupprimerMerci pour ton compliment ! Ça me touche beaucoup :) (d'autant plus que j'adore ton blog !)
@LeSalon DesLettres -> C'est le problème du SDL : aller le samedi et/ou le dimanche pour profiter de toutes les animations mais subir la foule, ou aller le vendredi et/ou le lundi, profiter d'un moment plus calme, mais ne pas avoir toutes les animations. C'est dommage.
Pour les éditions Charleston, peut-être qu'ils avaient un nombre de sacs déterminé par jour ? (histoire d'en avoir jusqu'au lundi). Je comprends ce que tu dis quand tu dis que ça peut lasser. Ce que j'apprécie, c'est que le SDL change tous les ans de pays et villes invités, propose des expositions différentes, ce genre de chose. Après c'est vrai qu'au fond, à part ça, ça reste à peu près la même chose année après année.
Ce que tu me dis me fait très plaisir ! J'aurais aussi aimé te rencontrer. Mais ça peut se faire autre part qu'au SDL, si tu veux ;)